Les employés de la station-service ont vu un chien errer sans but dans le quartier jusqu’au jour où il est venu se réfugier à l’intérieur, ignorant qu’il vivrait ici sous la garde d’une belle personne.
Toutes ces informations ont été fournies par le groupe FERA.
Tous les salariés sont tombés sous le charme de ce chien qui donnait tant d’affection.
L’animal était reconnaissant d’avoir laissé sa vie dans la rue grâce à eux et aux soins qu’ils lui ont prodigués.
Les travailleurs ont convenu qu’ils s’occuperaient de lui à tour de rôle pendant le quart de travail et s’assureraient que le chien était en sécurité la nuit.
Il existe de nombreuses histoires et études de cas d’entreprises où cela se produit.
En effet, des employés sont touchés par un bel animal sans abri, et ils l’emmènent dans leur entreprise pendant le travail.
Le plus drôle, c’est qu’ils lui donnent généralement un uniforme comme s’ils n’étaient qu’un autre « travailleur ».
Mais ce qu’ils veulent vraiment symboliser, c’est que l’entreprise est la maison du chien.Les employés de la station-service disent au revoir à leur véritable ami.
Ce chien a même reçu une carte avec son identité, son nom et sa photo envoyée afin qu’il puisse faire partie du groupe.
Après cela, l’histoire est devenue virale et a gagné en notoriété dans son pays.
Divers médias ont publié des articles sur Negao (chien) et sa personnalité belle et affectueuse.
De plus, les clients n’étaient pas pressés de le prendre dans ses bras et de le photographier.
Mais il ne faut pas oublier qu’il vivait dans une station-service, ce qui était assez dangereux s’il n’y avait pas de contrôle constant.
Les militants et le personnel lui ont dit au revoir sur les réseaux sociaux et l’ont décrit comme.
« Un petit chien super sympathique, souriant, heureux et serviable ».
Ils ont également précisé qu’ils n’oublieront jamais le bon moment qu’ils ont passé ensemble.
Les internautes qui ont vu la nouvelle ont été dévastés et ont laissé des messages d’adieu affectueux. J’espère qu’il repose au paradis des chiens.