Virginie Efira, maman à 46 ans et plus apaisée que jamais : “Ma fille m’a appris que…”

Si Virginie Efira était déjà maman du petit Ali, alors le 28 août dernier elle a donné naissance à un petit garçon prénommé Hiro, né d’une union avec Nils Schneider.

La maternité, qu’elle aborde très pleinement, comme elle l’a avoué dans un entretien avec Madame Figaro.

En matière de maternité, l’actrice de « 20 Years Gap » n’a rien à apprendre. Même si avoir un enfant à 46 ans va changer les règles du jeu.

Peut-être même dans le meilleur sens du terme, comme elle semble le révéler dans les colonnes de Madame Figaro.

Après avoir joué dans la série « Tout va bien » de Camille de Castelnau et dans le premier film de Delphine Deloger « Rien à perdre », l’actrice apparaît sur tous les écrans.

La César 2023 de la meilleure actrice continue de tenter des rôles « loin des stéréotypes » là où on l’attend le moins. « Quand un bébé naît, c’est aussi l’occasion d’apporter quelque chose de nouveau dans sa vie », a-t-elle déclaré.

Dans un entretien avec nos confrères, l’ancienne présentatrice belge a évoqué les consignes pour être une « mère idéale », qu’elle connaissait elle-même avant la naissance de sa fille il y a dix ans.

Elle qui souhaitait allier maternité, travail, temps pour elle et vie sociale s’est vite rendu compte qu’elle ne pouvait pas être partout à la fois.

« J’ai loué une maison en Camargue et j’ai invité beaucoup de monde, j’ai imaginé un super endroit hippie où je pourrais m’occuper de mon enfant, saluer tout le monde, jongler avec toutes les tables.

Finalement, tout s’est mal passé. , c’était trop. Avant de devenir maman, je vivais ma vie sur ce principe : je pensais qu’il fallait être partout pour ne rien manquer.

Ma fille m’a appris que là où nous nous trouvons, nous devons essayer de faire quelque chose », lit-on dans les colonnes du magazine. « Il a partagé avec son père. »

« J’ai eu accès à davantage de conférences, de parcours de vie qui me permettent d’échapper à ce genre d’engagement merveilleux que la naissance alourdit », explique la traductrice Benedetta, qui veut aborder cette nouvelle maternité sans « cette pression ».

Et d’ajouter :  » Et puis , cela a été partagé avec son père. Même si je ne veux pas parler de ce sujet, c’est très général.

Et c’est beau à voir et à expérimenter. » Les planètes semblent s’aligner, puisqu’elle – pour la première fois – n’a pas Tournage prévu, elle garde l’envie de travailler :

« Je ne pense pas que je serai plus stricte sur les projets que je reçois parce que j’aimerais rester avec mon enfant », a-t-elle conclu.

Like this post? Please share to your friends:
Funy Worlds