Pour que l’histoire avec Pierre Palmade se calme au plus vite, le maire du village prend une décision.
Le village de Celies-en-Bières est sous le feu des projecteurs depuis plusieurs jours.
Et ce n’est pas pour rien que Pierre Palmade habite ici.
C’est dans ce village qu’il achète une deuxième maison pour éviter les tentations de Paris.
Mais, comme vous le savez, l’acteur a fait un terrible accident de voiture en conduisant sous l’influence de la drogue.
De quoi pousser le maire du village à une décision.
Alors qu’il conduisait sous l’effet de la drogue, a provoqué un terrible accident de la circulation.
Il s’agissait de mettre un terme à ses addictions, qu’il a pourtant quittées pour la campagne en 2017.
La même année, il quitte la capitale. Il veut être loin des fêtes, loin des tentations. Mais si Pierre Palmade ne va plus aux soirées, il les fait venir chez lui.
Dans sa grande maison, ils font de grandes fêtes avec d’autres hommes.
Pourtant, ses soirées sont clairement des produits illégaux.
Pour que l’histoire reste silencieuse et que les médias ne soient pas trop entreprenants dans son village, le maire de Célies-en-Bières a pris une décision.
Il a ordonné aux employés de la ville de ne pas commenter l’affaire. dit le voisin de Pierre Palmada
Cette ordonnance ne s’applique évidemment pas aux résidents.
En effet, ce sont ces derniers qui décident s’ils veulent répondre aux questions des journalistes.
Le voisin de Pierre Palmada a par exemple répondu aux questions de Closer.
« Je sais qu’il aime faire la fête, mais il n’a jamais fait de bruit. C’est une personne très simple et toujours polie.
Nous sommes venus ici la même année, en 2017. Je l’ai toujours vu en taxi ou en VTK. Je ne savais même pas qu’il avait un permis de conduire.
Quelle idée de rouler dans son état ! C’est terrible pour lui et pour les victimes. »
« J’ai vu les garçons entrer et sortir de sa maison. Ils arrivent en gare de Melun et Monsieur leur envoie un taxi.
Il a toujours été cordial et chaleureux avec moi.
L’acteur est assigné à résidence.
Après 48 heures de garde à vue, un juge ordonne l’assignation à résidence.
Actuellement, la justice le poursuit toujours pour homicide involontaire. Mais les qualifications peuvent changer.
Cela dépend des conditions dans lesquelles l’enfant est mort.