Des personnes âgées heureuses et un refuge désengorgé ce partenariat avec un EHPAD est un succès !

Les résidents d’EHPAD au Canada ont eu la possibilité de tester le nouvel appareil, selon CTV News.

Dans les locaux de leur institution, ils peuvent chouchouter et presser les chats. Ces derniers viennent d’un orphelinat local surpeuplé.

Ainsi, les personnes âgées assument le rôle de famille d’accueil pour les chats, en attendant qu’ils soient adoptés. De quoi plaire à tous les personnages principaux.

A Shalem Senior Community, comme dans d’autres EHPAD, de nombreux seniors se séparent de leurs animaux de compagnie lorsqu’ils quittent leur ancien logement.

« Beaucoup d’entre nous avaient des animaux de compagnie ou ont dû les laisser lorsqu’il s’est installé ici », confirme Connie Plenert, l’une des résidentes.

En plus de cet inconvénient, les résidents souffrent parfois de solitude et d’ennui.

La directrice de l’institution, Dorothy de Vuyst, s’est penchée sur la question.

En même temps, dans un établissement avec un type de locataire différent, le personnel a aussi ses propres problèmes.

En effet, au refuge pour animaux canadien Alberta Animal Rescue Crew Society (ARCS), les bénévoles sont littéralement débordés par le nombre d’animaux abandonnés.

Les locaux sont surpeuplés, ce qui rend difficile l’accueil des recrues. Ainsi est née une idée brillante Partenariat rentable
En s’associant, ces 2 structures ont voulu résoudre leur problème.

L’EHPAD garde des chats et rend ses résidents heureux. De son côté, l’organisme de secours dispose d’un lieu pour recevoir de nouveaux animaux.

Un partenariat a été formé pour mettre en œuvre ce projet. Et c’est une réussite ! Dans la « salle des câlins », les seniors viennent s’occuper des chat.

« C’est une façon pour les résidents d’avoir une activité supplémentaire et de se sentir utiles en participant aux soins des chats », explique Dorothy de Vuyst.

Il aide également à socialiser les animaux. D’une certaine manière, ils s’habituent à la vie de famille.

« Cela finit par les rendre plus réceptifs à l’adoption, ce qui nous fait du bien », explique Elizabeth Dill, la responsable des chats de l’AARCS.

Il y a de quoi satisfaire toutes les parties dans cette union, même si certains locataires sont tristes de voir disparaître les pelotes de laine auxquelles ils sont attachés. Mais ils sont toujours heureux de participer à leurs soins.

En collaborant avec la structure pour personnes âgées, une organisation décente a pu « transformer l’utile en agréable ».

Alors que certains ont eu la compagnie de chats affectueux, d’autres ont pu réduire leurs effectifs.

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