« J’ai du mal à monter dans ce train sereine » : une habituée du Paris-Clermont raconte sa nuit de galère.

« J’ai du mal à monter à bord de ce train paisible » : une passagère régulière de la ligne Paris-Clermont raconte sa nuit difficile

Des bébés, des personnes âgées… et même toute une classe : ils étaient tous passagers du train qui a quitté vendredi soir la gare de Paris Bercy à 18h57 en direction de Clermont-Ferrand. Mais un peu plus d’une heure après le départ, la locomotive tombe en panne à quelques kilomètres au sud de Montargis.

C’est le début des ennuis pour les voyageurs : une locomotive arrive de Paris pour les ramener à la gare. Montargis va pouvoir changer de matériel et repartir. En six heures, 700 passagers étaient bloqués.

« Une locomotive en panne signifie pas d’électricité et donc pas de chauffage. Ce n’était pas une très bonne nuit ! »- regrette Peggy Chabot, l’une des passagères. Cette nuit-là, la température était à nouveau négative.

Les passagers reçoivent des couvertures de protection vers minuit. Deux heures plus tard, ils ont reçu une trousse de premiers secours comprenant une bouteille d’eau, de la compote et des biscuits. Inconvénient supplémentaire : les coupures de courant rendent les toilettes inutilisables.

« J’ai trouvé que les gens étaient plus zen ou peut-être résignés, je ne sais pas », raconte Peggy.

Le train arrive finalement en gare de Clermont-Ferrand à 6h15. Elle-même passagère régulière du train Clermont-Paris, elle déplore les retards difficiles qui surviennent régulièrement sur la ligne :

« J’ai du mal à monter sereinement dans ce train. » Paris les ramène à la Gare de Montargis pour qu’ils puissent changer de matériel et repartir. En six heures, 700 passagers étaient bloqués.

« Une locomotive en panne signifie pas d’électricité et donc pas de chauffage. Ce n’était pas une très bonne nuit ! »- regrette Peggy Chabot, l’une des passagères. Cette nuit-là, la température était à nouveau négative.

Les passagers reçoivent des couvertures de protection vers minuit.

Deux heures plus tard, ils ont reçu une trousse de premiers secours comprenant une bouteille d’eau, de la compote et des biscuits. Inconvénient supplémentaire : les coupures de courant rendent les toilettes inutilisables. « J’ai trouvé que les gens étaient plus zen ou peut-être résignés, je ne sais pas », raconte Peggy.

Le train arrive finalement en gare de Clermont-Ferrand à 6h15. Elle-même passagère régulière de la ligne Clermont-Paris, elle déplore les retards importants qui surviennent régulièrement sur la ligne : « J’ai du mal à monter sereinement dans ce train. »

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