Tout peut casser dans le « Closed Deal ». L’acheteur a fait peur au vendeur.
Chaque jour dans son émission « L’amour est fini » Sophie Davan rencontre de nombreuses personnes venues de toute la France.
Ils viennent dans l’espoir de faire une bonne affaire avec les antiquaires de l’émission.
Parfois ces derniers commettent des gaffes, au point même de casser des objets destinés à la vente aux enchères.
Acte accompli : certains articles peuvent casser pendant les soldes.
Sophie Davant attire chaque jour des millions de téléspectateurs depuis de nombreuses années avec son émission Lover Complete.
Mais parfois, les choses ne se passent pas comme prévu. Certains articles peuvent se casser pendant la vente.
Oui, les acheteurs de Closed Deal peuvent parfois être maladroits, risquant de casser l’article à vendre.
En particulier, deux épisodes de l’émission marquent cette séquence, dans lesquels les vendeurs ont eu très peur pour leur vie.
Selon le contexte « Deal Closed », Sophie Davant accueille le vendeur au studio. En général, elle n’est pas loin d’être un expert pour évaluer l’objet à vendre.
Ce n’est qu’après un examen approfondi et une évaluation du prix que le vendeur a accès à la salle des ventes.
Lors d’un des salons, Sophie Davant a, comme à son habitude, salué le vendeur.
Pendant ce temps, Harold Hessel est en charge de l’examen. Par conséquent, le vendeur a présenté une voiture miniature, que l’expert a estimée à 100 euros.
Mais quand c’est au tour de Damien Tyson d’inspecter soigneusement la petite voiture, il la fracasse. Puis l’aile de la voiture s’est détachée.
La voiture miniature était vendue 270 euros. Le prix est bien supérieur à l’estimation d’Harold Hessel, l’un des experts de Closed Deal.
Le deuxième objet, en revanche, était un bel objet de valeur évalué à 1200 euros.
C’est un objet qui ne peut pas être cassé. C’étaient deux très belles chaises. Cette fois, un certain Sylvain est venu au studio « Deeds Done » pour les vendre.
Anne-Catherine Vervardet et Clément Angers n’ont pas caché leur envie de tester la chaise.
Mais alors qu’ils s’asseyaient, Caroline Margeridon commença : « Ah, j’ai entendu un craquement ! Oh! Là… »
L’acheteur du « Closed Deal » avait peur d’endommager la chaise.
Sylvie, la vendeuse, l’a immédiatement assuré : « Non, ce sont des ressorts. Sans doute un soulagement pour l’antiquaire.